 |
 |
 |
Pierre Desproges sera lu par Christian Conon au Studio de la Comédie Française le Mercredi 16 Janvier à 12 H 30 et le Lundi 21 Janvier à 18 H 30 |
|
|
 |
|
 |
 |
 |
 |
 |
 |
|
|
|
|
  |
|

|
|
|
"Pour moi c'est un modèle d'humanité Brassens. C'est quelqu'un qui est arrivé au sommet dans ce métier, si tant est qu'il y ait un sommet… Pour moi la réussite, c'est d'arriver où l’on veut. Ca se chiffre pas en nombre de fauteuils qu'on remplit au Palais des Congrès. Brassens est arrivé très haut et très bien sans jamais se compromettre. Il ne s'est jamais compromis devant un public, alors qu'il n'était pas comme on l'aurait voulu un chanteur populaire au sens petit "p" du mot populaire. Il avait son vocabulaire qui était un vocabulaire assez précieux, il avait des tournures de phrases... Même parmi les gens qui disent qu'ils aiment Brassens y en a pas un sur cinquante qui peut réciter enfin dire certains textes qui sont très fouillés. Il s'est jamais abaissé vers le public. (…) Il l'a dit d'ailleurs dans une chanson :
"Si le public en veut, je les sors dare-dare,
s'il n'en veut pas je les remets dans ma guitare". |
|
|
La seule certitude que j’ai, c’est d’être dans le doute
Entretien avec Y. Riou et Ph. Pouchain
Éditions du Seuil
|
|
 |
|
|
(…) Au cas où je me laisserais aller à me surévaluer l'ego à mes propres yeux à l'occasion d'une flagornerie de quelque pilier vermoulu de mon fan club d'Hénin-Liétard, la rude réalité de mon insignifiance ne manquera jamais de me remettre à ma place: celle, auprès du poële au fond de la classe, que j'eus le tort de quitter le jour où j'ai eu les moyens de m'offrir mon premier radiateur avec un chèque de TF1.
Lire la suite
|
|
|
Chroniques de la haine ordinaire : La Gloire (CD1)
|
|
|
En fait, je n’aime pas ce merveilleux métier de la scène et du spectacle , ce merveilleux métier de la scène et du spectacle qui s’enorgueillit à juste titre de nombreux rituels et de nombreuses coutumes, toutes plus grotesques les unes que les autres.
Tenez, il y a une coutume du spectacle qui me les gongle singulièrement d’ailleurs ça tombe bien que je vous en parle maintenant, tout de suite c’est… les rappels.
C’est totalement absurde, les rappels. Enfin, écoutez, dans la vie normale, dans la vie courante, quand un type a fini son boulot, qu’est-ce qu’il fait ? Il dit au revoir, et il s’en va. Il ne revient pas : enfin, on n’imagine pas un plombier, par exemple, re-sonnant à la porte, après avoir réparé une fuite, juste pour refiler un petit coup de clé de douze. |
|
|
Accents toniques
Théâtre Fontaine
|
|
|
Mon psy m’a conseillé de tenter une expérience de thérapie de groupe. Au départ, je n’étais pas très chaud. D’abord je trouve ce genre d’exhibitions publiques tout à fait impudiques. (…) Et puis c’est un truc qui coûte cher, les thérapies de groupes. (…)Alors mon psy m’a dit : « Mais non, pauvre enculé (nous sommes très liés) , mais non, ça ne te coûtera rien. Au contraire. Pour la thérapie de groupe, donne-toi en spectacle. C’est toi qui sera payé.C’est pourquoi, Mesdames et Messieurs, je vous ai priés de venir tous ici ce soir pour me regarder faire mon intéressant . |
|
|
Intro
Théâtre Grévin
|
 |
|
|
|
 |
|
|
Chaque mois, nous rajouterons des illustrations pour enrichir les thématiques déjà traitées. Et quelquefois, avec l’accord des auteurs ou des producteurs, nous associerons d’autres artistes.
Ce mois-ci, l’extrait de l’album TRIPLEX de Thomas Fersen : « Les malheurs du lion » (Chez TÔT OU TARD) nous permet d’en remettre une petite couche sur les bestioles.
« Le lion est un gros con lâche et couard. (…) La plupart du temps, le lion ne chasse pas lui-même. Il n’a pas que ça à faire. Il dort. Il laisse à sa femelle le soin de chasser à sa place, ou bien il se planque derrière elle pour ne pas prendre un mauvais coup de patte de gnou dans ses nobles couilles royales. »
Revues de Presse :
Le tribunal des flagrants délires
Les chroniques de la haine ordinaire
Le théatre Fontaine
Le théatre Grévin
|
  |
 |
 |
 |
 |
|
|
Au moment où nous sommes en train de parler, tu es entrain de faire le théâtre Grévin, tu as un bouquin qui vient de sortir... Disons que Desproges... Ça bouge autour de Desproges...
Et ça bouge bien. Ça bouge comme j'ai voulu. Ça bouge dans le sens que j'ai voulu.
Ca veut dire que c'est programmé tout ça ? Ce n’est pas un hasard !
Non ! Je n'ai jamais eu de plan de carrière du tout ni même d'ambition. Je n'ai aucune ambition. Je suis trop conscient de la vanité de l'existence pour avoir un plan de carrière ou de l'ambition. Depuis que j'ai l’âge de penser… le vrai but de la naissance de l'homme, la seule raison d’être sur terre, c'est de mourir. Quand on est bien conscient de ça… |
|
|
La seule certitude que j’ai, c’est d’être dans le doute
Entretien avec Y. Riou et Ph. Pouchain
Éditions du Seuil
|
|
|
Les bons conseils du Professeur Canevet :
Peut-on reproduire librement un texte de Pierre Desproges ?
Pour commencer, un petit cours de droit. Toute création de l'esprit (un text
e, une image, une musique) appartient à son auteur, et ceci dès sa création. Une lettre adressée à votre percepteur ou le gribouillis que vous faites en téléphonant sont donc des oeuvres d'art (si, si), et sont protégées comme telles... Lire la suite
Droit & Internet - http://www.canevet.com
|
|
|
Dernière Mise à Jour : le 7 janvier 2002
Ce site est mis à jour tous les mois. Si vous souhaitez être prévenu, cliquez ici. (Laissez-nous un petit mot au passage... nous lisons tout !)
Revenez très vite !
|
|
|
Prochaine mise à jour au mois de février...
|
|
|

|
|
|
|
|
|
|